Qui sommes-nous ?

AC ! Quimper est une association loi 1901 composée de salariés au chômage, en situation de précarité, de salariés en CDI, de retraités... Nous luttons contre le chômage, le travail précaire. Pour cela, nous militons pour le droit au salaire, attaché à la personne, avec ou sans emploi. Car c’est l’emploi qui crée le chômage. Pourquoi n’y a t-il pas de chômage chez les retraités ? Parce que ceux-ci ne dépendent plus de l’emploi. Leur salaire est attaché à leur personne, les libérant ainsi de l’obligation à chercher, occuper un emploi. Nous pensons que ce qui est bon après 60 ans est encore meilleur avant !

AC ! Quimper est membre du réseau national Agir contre le Chômage (www.ac-chomage.org)

Que faisons-nous ?

Nous tenons des permanences juridiques chaque jeudi de 14H00 à 16H00 à notre local

22 rue Jean Jaures, 29000 Quimper Tel : 02 98 90 50 92

où nous aidons les personnes en situation de chômage et précarité dans leurs relations avec Pôle Emploi, la CAF, leur agence d’Interim, etc.

Nous diffusons des tracts auprès des Pôle emploi de Quimper et de la région pour informer les salariés au chômage, dans la précarité de leurs droits... ou de ce qu’il en reste :

 Que dire, et surtout ne pas dire, lors du premier entretien avec Pôle emploi ?

 Que faire en cas de radiation ?

 Comment se prémunir contre l’obligation d’accepter n’importe quel emploi ?...

Nous défendons l’idée politique d’un droit au salaire pour tous les salariés, avec ou sans emploi, attaché à leur personne et donc irrévocable. C’est-à-dire une sécurité sociale qui nous libère de l’obligation d’accepter n’importe quel emploi, à temps partiel, dégradé... Une sécurité sociale qui nous permette de travailler librement, de mener une vie épanouissante. C’est l’intérêt de tous les salariés que leur salaire ne dépende plus de leur carrière dans l’emploi. C’est bien sûr vrai pour les chômeurs (environ un sur deux n’est pas indemnisé par l’ASSEDIC – et ceux qui le sont touchent souvent de très faibles salaires). C’est vrai pour les salariés dans l’emploi et qui ont peur de perdre leur salaire s’ils perdent leur emploi. Ce qui les pousse à accepter les conditions de travail les plus dégradées, les salaires les plus bas. Un des nôtres a écrit un livre qui développe cette proposition :